On découvre aujourd’hui deux critiques de « L’Effrayable ».
La première nous vient du libraire Pascal Cottin, qui publie sur son nouveau blog lelibreerre.unblog.fr un article très intéressant sur sa plongée dans « L’Effrayable » :
« J’ai continué la lecture et alors, un revirement total s’est effectué ; j’ai vite senti le rythme Beckerien s’imprimant en moi et l’histoire s’est incrustée poussée par une langue brute et terrible. J’ai été happé par le récit.
Lorsque j’ai posé le livre, le titre résumait son contenu : Effrayable !
Il m’a fallu une bonne semaine, je continuais mes lectures, avant que je me décide à le relire. Mais là, tout haut. Et ce fut une révélation. Une langue extraordinaire créait des mots sur les maux. Je découvrais alors que la première lecture n’avait été qu’initiation. Il me semblait à certains moments vivre les tragédies décrites non pas par l’auteur mais par l’écrivain. Je sis sorti de cette voix haute abasourdi. »
Retrouvez l’article en entier sur le blog de Pascal Cottin. N’oubliez pas qu’il recevra Andréas Becker à Bolbec le vendredi 30 novembre !
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Le second article nous vient de Frédéric Chambe, qui publie quant à lui sur son blog, l’Alexipharmaque, une critique très intelligente de « L’Effrayable », que l’on ne peut que vous inviter à lire :
« La dilution des JE, l’osmose des OÙ, le chaos des QUOI, l’interchangeabilité des COMMENT et des QUI, tout ça nous pose en fin de compte l’infernale question du POURQUOI. »
Retrouvez au plus vite la critique de Frédéric Chambe sur l’Alexipharmaque.